août 2011

  • En perdant sa mère, Oliver retrouve son père ! Un père qui avoue être gay ! Il ose enfin faire cette révélation à son fils après des années de cachotterie mais désormais à 75 ans, atteint d’un cancer, ses jours sont comptés. Il est décidé à vivre (…) > Lire la suite ...
  • Qu’il soit tigre ou soldat, être de papier est synonyme de vulnérabilité. Le 12 avril 1961 l’Union Soviétique lance dans l’espace le premier cosmonaute. La mission du programme Vostok 1 a été préparée depuis le cosmodrome de Baïkonour perdu (…) > Lire la suite ...
  • Le débat n’est pas nouveau, il est cyclique. Réactivé cette année par la présence, en tant que directeur artistique, de Michelangelo Pistoletto à la biennale de Bordeaux. L’art peut-il changer le Monde ? Pour le fondateur de l’Arte Povera et (…) > Lire la suite ...
  • Pour Simenon (*) il existe des journées qu’il appelle administratives parce qu’elles sont ternes, sans lumière et vaguement ennuyeuses. On a avec « R.I.F » la même impression de monotonie et de manque de relief. Non pas parce que la mise est (…) > Lire la suite ...
  • L’imagination au pouvoir. L’imagination qui pervertit et qui séduit. Certains films demandent à être apprivoisés. Un peu comme un nyctalope a besoin d’un temps d’accommodation pour découvrir l’intérêt de l’endroit où il se trouve. Deux (…) > Lire la suite ...
  • Tous les pères ne sont pas des héros. Tous les fils ne sont pas des enfants prodigues. Certains des premiers sont des salauds. Certains des seconds sont des ingrats. Dans un prestigieux vignoble du bordelais, quatre destins d’hommes - (…) > Lire la suite ...
  • A.F.T. Au fil du temps. Ce temps qui fait que les choses ne restent jamais longtemps les mêmes. Ce temps qui les fait bouger. Et oblige à reconsidérer ce que l’on croyait acquis. Parfois pour le meilleur mais plus souvent pour le pire. Ce (…) > Lire la suite ...
  • Michel Le Bris aime les explorateurs. Il les aime tellement qu’il leur a consacrés un « Dictionnaire amoureux ». On n’y trouve pas à la lettre W, le nom de Wiseman. Et c’est dommage, car le documentariste y aurait sa place. Car qu’a-t-il fait (…) > Lire la suite ...
  • Si vous n’avez pas le moral si vous regrettez la fin des vacances, la cherté de la vie notamment celle du kilo de cerises bigarreaux, la disparition de l’émission « le jeu des dictionnaires » à la RTBF1, si vous redoutez les lendemains qui (…) > Lire la suite ...
  • Le mythe de Cendrillon n’est pas mort. Il continue toujours à faire rêver les jeunes filles qui aiment porter de jolis escarpins pour séduire. Il permet aux dames plus âgées de se souvenir qu’une paire de chaussures rouges a joué dans leur vie (…) > Lire la suite ...
  • N’ayez pas peur d’être heureux. Pourquoi se sent-on tellement floué à la fin de « One day » ? Floué et ému. Alors que ni la facture ni la narration, celle d’une romance classique, ne prédisposent à cette étrange émotion qui nous saisit, (…) > Lire la suite ...
  • Avec Herzog, on se sent toujours une âme d’explorateur. Tant cet homme a l’art d’ouvrir notre regard à des beautés auxquelles, spectateurs souvent coincés entre deux obligations réelles ou inventées, nous accordons peu de notre temps et de (…) > Lire la suite ...
  • Il est aisé de cerner la force d’un film lorsqu’elle gicle de chaque plan, de chaque image, de chaque regard. Rien n’est gratuit ou laissé au hasard dans le dernier film de Wakamatsu qui, à 74 ans démontre qu’il n’a rien perdu de sa pugnacité (…) > Lire la suite ...
  • Une femme (Elena Anaya), prisonnière d’une luxueuse villa, vêtue d’un body mettant en valeur sa féminité ; un homme, chirurgien esthétique (un Antonio Banderas à glacer le sang), qui l’épie depuis sa chambre : telle est la prémisse du dernier (…) > Lire la suite ...
  • " La mer apporte à chaque homme des raisons d’espérer " – Christophe Colomb. Est-ce que le cinéma peut faire la même chose ? C’est la question que se pose le spectateur lorsqu’il regarde ce documentaire qui raconte le combat d’une famille (…) > Lire la suite ...
  • Quelle bonne idée de la part du cinéma Vendôme en cet été de cinématographie terne et pluvieuse - des comédies qui font à peine sourire, des drames nombrilistes et des 3D violentes - de reprendre ce film, le 5ème du réalisateur iranien Asghar (…) > Lire la suite ...
  • Il arrive que l’on ait envie, en sortant d’une projection, de s’étirer. Longuement. Sans égard pour ceux étaient assis à vos côtés, juste désireux de céder à une envie qui peut être de plaisir ou d’ennui. Après « Impardonnables », l’étirement (…) > Lire la suite ...
  • Même pas sûr que ce grand gars baraqué comme Monsieur Propre et fort à lui tout seul comme Tsahal sache faire cinq ricochets sur l’eau. Par contre ce qui est sûr c’est que c’est qu’il apporte un éclairage nouveau à la 3D. Après avoir été chez (…) > Lire la suite ...
  • S’il est vrai que « les emmerdes c’est le jogging du bonheur » - Claude Lelouch (*), alors Mr.Nice aurait dû s’appeler Mr. Happy. Oxford, fin des années 1960 Howard Marks y est étudiant, pauvre et gallois. Quelques années plus tard, il en sort. (…) > Lire la suite ...
  • A voir ? Pas sûr. Dire pourquoi on est réticent ? Sûrement. Si pour Oscar Wilde, l’artiste n’a pas à être le valet de son public, le spectateur a lui aussi la liberté de refuser d’être le laquais de l’artiste. Même quand on lui dit que (…) > Lire la suite ...
  • Les origines, déclins et fins de civilisations ont toujours quelque chose de fascinant. Parce qu’ils allient deux aptitudes avec lesquelles l’être humain aiment jouer : le sens du tragique et les hypothèses audacieuses. Ce qui explique sans (…) > Lire la suite ...
  • (Re)voir un film de Chantal Akerman c’est frotter la lampe d’Aladin, celle qui permet à un génie d’en jaillir à chaque fois. Ce génie qui fait du cinéma l’art du regard et de son complice naturel, la caméra quand on sait où et comment la (…) > Lire la suite ...
  • Ne vous laissez pas berner ou assoupir par le côté Joan Collins de l’héroïne de ce film qui a les apparences trompeuses d’une série télévisée un peu kitsch, un peu cliché, volontiers colorée et mélo. Elle a du cran cette jolie animatrice d’un (…) > Lire la suite ...
  • « Quand dans une cage on enferme un lion affamé, un homme qui l’est tout autant et une côtelette, ce n’est jamais la côtelette qui gagne » - Cavanna Quand dans une salle de cinéma il y a un film au scénario gorgé de clichés, une mise en scène (…) > Lire la suite ...
  • Prenez une carte postale des années 60 d’une ville de la Toscane. Ajoutez-y l’une des actrices italiennes les plus séduisantes et intrigantes de l’âge d’or du cinéma italien, en plus d’un casting d’exception, et voici que le réalisateur Paolo (…) > Lire la suite ...
  • Beware and be aware. Prendre garde et être conscient. Il avait raison Frédéric Sojcher lorsque dans son réjouissant « Hitler à Hollywood » il recommandait de rester vigilant et de ne pas céder à la déferlante des films formatés US. (…) > Lire la suite ...
  • Quand les arts se donnent la main, les amateurs se frottent les leurs. Question synergie, la commune d’Ixelles, dans le cadre de ses activités culturelles de l’été, a fait fort. Triplant l’intérêt pour la discipline du graffiti à la fois au (…) > Lire la suite ...