Rachel Nichols, Jason Momoa
Même pas sûr que ce grand gars baraqué comme Monsieur Propre et fort à lui tout seul comme Tsahal sache faire cinq ricochets sur l’eau.
Par contre ce qui est sûr c’est que c’est qu’il apporte un éclairage nouveau à la 3D.
Après avoir été chez Merian C.Cooper, l’un des 2 réalisateurs de « King Kong » une règle à respecter pour transformer une créature en monstre : "la rendre distante, dangereuse et difficile" , chez la plupart des "majors" contemporains une technologie qui combine atout artistique et souci de rentabilié, elle devient avec « Conan » une des illustrations les plus expressives et explicites du triple D.
Le film débile, délirant et étrangement désuet.
Même si on s’étonne du succès des aventures grand-guignolesques, revanchardes et violentes d’un surdoué des biscottos auprès d’un certain public (des prépubères, des maigrelets, des inconscients, des anticinéphiles ?), il n’en reste pas moins que « Conan » est un concept rémunérateur.
Des histoires écrites par Robert E. Howard, la création d’un genre littéraire "l’heroïc fantasy", 5 films, 2 séries télévisées.
Et … un ex gouverneur de Californie – Arnold Schwarzenegger.
Un autre superhéros est à l’honneur cette semaine dans "Captain America". Conan suffira à mon ...malheur. (mca)