septembre 2011

Guerre des boutons ou guerre des doublons ? Doublons en l’espèce définitivement et totalement dispensables. Il y a 15 jours sortait sur nos écrans « La guerre des boutons » de Yann Samuell. Confirmant le dicton qui veut que dans une vie de (…) > Lire la suite ...

L’Affaire Rachel Singer raconte l’histoire de trois agents du Mossad adulés pour avoir orchestré la capture et l’élimination d’un criminel de guerre nazi. Trente ans plus tard, un homme prétend être ce célèbre chirurgien de Birkenau. L’intrigue (…) > Lire la suite ...

Un homme libre peut-il être un homme engagé ? S’il est vrai que toute occasion de réfléchir sur la mémoire et la façon de la transmettre est bonne à prendre, il est vrai aussi qu’il est dommage que la revisitation d’un passé déformé ou ignoré (…) > Lire la suite ...

Si la vue d’un cadavre ou de membres coupés vous révulse, voilà un film qui n’est certes pas pour vous... Cette farce macabre fait appel à l’humour noir et au grand-guignolesque pour raconter une histoire inspirée de faits réels : dans l’Ecosse (…) > Lire la suite ...

Et si elle sonnait à votre porte en se présentant ainsi « Bonjour, je suis une fée. Vous avez droit à 3 vœux » que demanderiez-vous ? Les films à la fois drôles et poétiques ne courent pas les écrans. Ils les courent encore moins lorsqu’ils (…) > Lire la suite ...

Les femmes dit-on sont bavardes comme des pies. Que dire alors de Steve Coogan et Rob Brydon qui n’arrêtent pas de pépier comme des étourneaux dans le dernier Michael Winterbottom que l’on a connu en meilleure forme – « Jude l’Obscur », « 9 songs (…) > Lire la suite ...

« Life’s but walking shadow … » - la vie n’est qu’une ombre qui passe (Shakespaere in Macbeth acte V, scène 5) L’intérêt de Gus Van Sant pour les (beaux) jeunes gens et son questionnement sur la mort sont de notoriété cinéphilique. Pourquoi (…) > Lire la suite ...

Cette comédie gentillette, mais pas niaise pour autant, tombe à point en cette rentrée presque automnale. Elle nous propose de suivre Cal Weaver qui, à quarante ans, s’est installé dans une vie confortable mais un peu éteinte. Marié depuis (…) > Lire la suite ...

Cinématographie et photographie : inséparables sœurs ? Cinéma et photo : sœurs ennemies ? Ce qui est intéressant dans ce premier film de la jeune réalisatrice belgo-néerlandaise Fleur Boonman (*) ce qui le sauve d’une certaine opacité, c’est (…) > Lire la suite ...

En 1881, Guy de Maupassant écrit « La maison Tellier ». Nouvelle dans laquelle avec les mots d’un peintre il raconte le vivant quotidien d’une maison close tenue par une patronne qui aime autant ses filles que ses clients. En 2011 Bertrand (…) > Lire la suite ...

Décidément les comédies romantiques qui parlent de sexe foisonnent ces derniers temps à Hollywood, et comme si ça ne suffisait pas, la France enfonce le clou encore plus loin en ajoutant le mot ’sex’ à tout bout de champ : ainsi ’ No strings (…) > Lire la suite ...

Vivre sans poésie c’est être unijambiste (*) Cri et écrit. Il arrive que les deux se confondent lorsqu’ils sont confession et expriment l’engagement d’un poète à dire, de la façon la plus sincère qui soit, le désir homosexuel, la rébellion par (…) > Lire la suite ...

Pause ! Il faut arrêter de prendre le spectateur pour un âne bâté, capable de tout supporter au nom du Dieu Image. Il a le droit de ruer dans les brancards de la naïveté, du ringardisme et de la consensualité dégoulinante dans lesquels on veut (…) > Lire la suite ...

Il s’appelle Omar Raddad, il est jardinier et depuis le 24 juin 1991, il clame son innocence. Non, il n’a pas tué Ghislaine Marchal, sa patronne auquel il était très attaché, il ne lui aurait jamais fait de mal. Mais ce jardinier marocain, homme (…) > Lire la suite ...

Dans son deuxième long-métrage (*), le réalisateur Vincent Garenq s’attaque à un sujet particulièrement pesant et délicat. Celui d’une des plus grandes erreurs judiciaires de ces dernières années : l’affaire d’Outreau. Adapté du livre « Chronique (…) > Lire la suite ...

Il y a des films dont on regrette qu’ils ne soient pas biodégradables. Pour éviter qu’ils continuent d’essaimer auprès des spectateurs leur parti pris de donner d’un Monde perçu sans espoir et sans illusion tant d’images avilissantes et (…) > Lire la suite ...

On ne badine pas avec l’amour. Et encore moins avec la frustration. Mike a 15 ans. Après avoir quitté l’école, il devient garçon de bains dans un établissement du East End londonien. Arrivera-t-il à intégrer les codes par lesquels on devient (…) > Lire la suite ...

Quand Nanni Moretti décide de mettre un pied dans le Vatican, le résultat ne peut qu’être un film irrévérent, subtil et ironique. L’Église catholique romaine, décrite par le rationalisme de Moretti, est alourdie par le poids des ans de vieux (…) > Lire la suite ...

David Schwimmer, l’ami que certains d’entre nous ont fréquenté des années durant entre deux paliers de portes dans la série Friends, propose sa troisième réalisation de long métrage en opérant un virage concerné dans le thème qu’il aborde. Le (…) > Lire la suite ...

Comme un cœur qui bat dans la gorge " J’ai vu, un jour, dans les Alpujarras, un oiseau immobile dans le ciel. C’était un petit rapace. Son corps, à mieux y regarder, esquissait bien quelques gestes infimes : juste ce qu’il fallait pour (…) > Lire la suite ...

Help Marcel Ruffio ! 6 ans après “Les 400 coups” de Truffaut et 6 ans avant “Family life” de Ken Loach, Bellochio, dont c’est le premier film, rive le clou, en leur mettant les points sur les I, aux familles dysfonctionnelles. Il le fait avec (…) > Lire la suite ...