mars 2008

  • " J’ai toujours voulu être un gangster" ou le drame des rêves qui ne deviennent pas réalité. Ils font des films ennuyeux. Il faudrait toujours se méfier des dossiers qui accompagnent les projections destinées à la presse. Plus ils sont épais (…) > Lire la suite ...
  • Tous les ingrédients sont là et pourtant le soufflé retombe. Vite et définitivement. Un octuor de vedettes dont certaines savent être de bons acteurs, un thème alléchant - une tentative d’assassinat sur le président des Etats-Unis déclinée en (…) > Lire la suite ...
  • Alourdie de (trop) louables intentions et sans grand intérêt, cette deuxième réalisation d’Isabelle Doval - après « Rire et châtiment » avec son époux José Garcia dans le rôle principal - appartient résolument au genre de films à voir en famille (…) > Lire la suite ...
  • Comme chacun sait rien n’est plus regrettable qu’une absence de point de vue imprimée par le réalisateur à son film. Lorsque cette empreinte existe, rien pourtant n’est joué. Puisque celle-ci est elle-même créatrice d’un risque : celui de (…) > Lire la suite ...
  • Juliette et Léa. Léa et Juliette. Toutes les deux nées Fontaine. Que la vie a séparées pendant 15 ans. 15 années durant lesquelles l’une, Elsa, a réussi une maîtrise de lettres, est devenue chargée de cours à l’université de Nancy - ville à (…) > Lire la suite ...
  • Cinquième long métrage de Wes Anderson. Et cinquième réussite si on aime l’excentricité, la folie douce, le décalé classieux, l’insolite qui n’a pas de queue et encore moins de tête. Après « Rushmore », « The Royal Tenenbaums » et « The life (…) > Lire la suite ...
  • Si l’on va au cinéma pour en sortir les mirettes constellées d’étoiles admiratives, il vaut mieux ne pas aller voir la dernière réalisation de la fille du cinéaste irlandais Jim Sheridan (« In the name of the father, « My left foot », tous les (…) > Lire la suite ...
  • Il y a des bis repetita qui ne sont pas toujours placent. Autant on avait aimé le film précédent du réalisateur « The whale and the squid », autant celui-ci déçoit par sa superficialité et sa platitude tant au niveau du scénario que de la mise en (…) > Lire la suite ...
  • XXY

    3étoile(s) 3étoile(s) 3étoile(s) 3étoile(s) 3étoile(s)
    Trois lettres pour raconter une bizarrerie chromosomique et une quête d’identité. Trois lettres situées au bout de l’alphabet pour raconter sans le tapage coloré des voyelles le chemin d’Alex. Une jeune fille qui n’est pas comme les autres (…) > Lire la suite ...
  • Il y a des films tellement médiocres qu’ils en deviennent mauvais. Tellement mauvais qu’ils peuvent, sans espoir aucun de rédemption - même si leur sortie est programmée la semaine de Pâques, censée être le pic résurrectionnel de l’année - être (…) > Lire la suite ...
  • Si l’on prend le mot « reservation » dans une de ses significations possibles : la réserve qui n’oblige à aucun engagement, ce film - petit par son scénario et sa terne mise en scène - est bien le reflet d’un certain 7ème art (le mot technique (…) > Lire la suite ...
  • On oublie souvent de rendre au festival des "3 Continents" de Nantes (*) l’hommage qu’il mérite. Sans lui pourtant, le cinéma sud américain, sauf s’il est argentin ou brésilien, serait mal connu. En 2002 il a consacré à l’Uruguay un long moment (…) > Lire la suite ...
  • L’eau, la nature, de longs plans horizontaux au fil desquels se déplie, en crescendo moderato, une inquiétude sourde et opaque. Opaque comme les magnifiques blancs et noirs sur lesquels surfe une histoire simple. Pleine de frustrations, de (…) > Lire la suite ...
  • Ce qui est intéressant avec KKD (Kim Ki-duk) c’est l’irrégularité de son cinéma. Souvent magnifique (" Spring, summer, fall, winter & spring … ", "Bin Jip"), parfois bon (" Adress unknow") et de temps en temps quelconque (« The bow ») Ce (…) > Lire la suite ...
  • Comment appeler un film à l’intérêt (très) limité dans lequel jouent un acteur qui fut bon et une jeune femme réputée pour son intelligence ? Un miroir aux alouettes ? Une farce et attrape ? Un trompe l’œil ? Un besoin d’argent ? Une récréation (…) > Lire la suite ...
  • C’est parce qu’il est tissé de moments heureux et douloureux que « Elle s’appelle… » s’adresse à chacun de nous avec une force poignante qui n’a d’égale que sa rigoureuse (vigoureuse ?) simplicité. Premier film d’une actrice dont le jeu est (…) > Lire la suite ...
  • Si vous hésitez face à cette abondance de garde-robe, n’hésitez plus. Enfilez un tailleur-pantalon. C’est classe et indémodable. Exactement ce que n’est pas ce film, qui à force d’être pétri d’idées convenues et gentilles, flanque le bourdon (…) > Lire la suite ...
  • Pendant que Saul Friedländer travaillait à son œuvre-somme ayant pour thème l’élimination des Juifs par le nazisme ou le "comment ?" de l’holocauste, (*) que « Les bienveillantes » de Jonathan Littell sortaient en France en livre de poche et en (…) > Lire la suite ...
  • Lorsque Philippe Geluck officiait au journal « Le Soir », dans un de ses raccourcis magiques dont il a le secret, il a demandé au Chat ce qu’il ferait s’il ne lui restait que quelque temps à vivre. ? L’impertinent matou de répondre : « Je (…) > Lire la suite ...
  • Il y a des films dont on reste en lisière, alors qu’ils ne sont pas moins bons que d’autres et même meilleurs que bon nombre de ceux qui fleurissent sur les flancs des bus et trams. Ce qui prouve que le cinéma est et reste par excellence une (…) > Lire la suite ...
  • « El orfanato » ou l’orphelinat, un des lieux par excellence du fantasme, du délire, du mystére. C’est-à-dire de ces zones d’espace que chacun peut remplir, combler (attention au double sens) de ses attentes, de ses désirs, de ses peurs - comme (…) > Lire la suite ...
  • « Once » comme dans « Once upon a time », le début obligé des contes de fées. Et c’est bien d’un conte qu’il s’agit ici. Celui d’une rencontre entre un musicien des rues et une marchande de roses. Pas de château mais les rues d’un Dublin (…) > Lire la suite ...
  • Le cinéma c’est bien évidemment de l’émotion. Mais pas n’importe laquelle et surtout pas celle qu’on va chercher, à la grue-pelleteuse, chez le spectateur. Suzanne Bier, jeune cinéaste danoise, nous a habitués à des films qui, quoique bourrés (…) > Lire la suite ...
  • L’Autriche et son sens du tragique acerbe et grotesque. Minutieusement pointé par les écrivains Thomas Bernhardt et Elfriede Jelinek pendant de longues années. Et tout aussi obsessionnellement disséqué depuis deux décennies par le cinéaste (…) > Lire la suite ...
  • Pourquoi diable les avoir sorties de l’ombre si c’est pour en faire des greluches ? Pourquoi diable avoir rendu à ces combattantes un hommage tellement maladroit qu’il en devient grotesque ? Grotesque pour la mémoire de ces femmes qui, durant (…) > Lire la suite ...