décembre 2010

  • Y a-t-il une raison qui justifie le côté pie de ce film ? Pie comme ce volatile que l’on qualifie volontiers de plus bavard de son espèce. Dans « Love … » on ne permet jamais à l’esprit de se reposer, de prendre distance et de réfléchir à ce (…) > Lire la suite ...
  • Enfin … un successeur à Rocco Siffredi en la personne de la star française du porno gay : François Sagat. Dont le corps et le visage taillés aux haltères recèlent de bien inattendues et fugaces émotions. Si cette « bonne » ( ?) nouvelle (…) > Lire la suite ...
  • Le libre échange est considéré par certains économistes comme une des causes essentielles de la dérégulation des marchés. Et des secousses financières qui font dangereusement hoqueter notre XXIème siècle débutant. Maintenant il sera considéré (…) > Lire la suite ...
  • Atacama, désert et région du Nord du Chili. Atacama, 4 syllabes qui claquent et ont, en 2010, crépité au moins deux fois. Une fois en octobre lors du sauvetage très médiatisé des ensevelis de la mine de San Jose et une autre fois en juillet (…) > Lire la suite ...
  • Il y a chez Mike Leigh quelque chose qui rappelle le poète René Char. Une façon d’être désenchanté sans pour autant cesser d’être créatif. Comme lui, il ne craint pas de nommer des choses, de décrire des gens, de cerner des situations qui, (…) > Lire la suite ...
  • "Regarde autour de toi, ô Sire, et vois Les terribles destructions faites par ce Monstre cruel dans ton noble royaume". Mozart, Idoménée. Jusqu’à il y a peu, les films roumains portaient tous et toujours les stigmates du régime ou post-régime (…) > Lire la suite ...
  • Benoît et la chocolaterie. Un tandem aussi bizarroïde et inattendu que celui formé par le héros de Roald Dahl, Charlie, et son entreprise. Benoît et la délicatesse retrouvée après les cabrioles romaines et calamiteuses d’ "Astérix aux jeux (…) > Lire la suite ...
  • Est-ce un truisme ou une nécessité de rappeler combien notre regard sur un film dépend des souvenirs conservés de ceux précédemment vus ? Et dont nous avons encore le coeur emparfumé de sensibilité, d’émotions faites de force et de délicatesse. (…) > Lire la suite ...
  • « The Next Three Days » est la nouvelle réalisation de Paul Haggis, scénariste notamment de « Million Dollar Baby » (2004) et « Mémoires de nos pères » (2006) de Clint Eastwood et réalisateur des très réussis et intéressants « Collision » (2005), (…) > Lire la suite ...
  • Est-ce parce que Noël est la fête qui signe l’entrée dans la période de l’année la plus froide et la moins lumineuse que les Occidentaux ont éprouvé le besoin de la réchauffer d’une naissance. Celle d’un rédempteur. Ou pour les incroyants de (…) > Lire la suite ...
  • Aie … courage fuyons. Faisons comme les touristes lorsqu’ils sont déçus par la visite d’une ville. Ils changent d’itinéraire. Nous spectateurs contentons-nous de changer de salle. Signalons simplement que « The Tourist » est l’adaptation (…) > Lire la suite ...
  • On se prend à rêver, en regardant cette épopée des temps préhistoriques, à toutes les choses auxquelles l’homo neandertalensis a échappé. Les transports en commun bondés aux heures de pointe, la précarité de l’emploi, les agences de notation, (…) > Lire la suite ...
  • Peut-être. Que si comparaison n’est pas raison, elle est émotion. Peut-être dès lors que l’apport d’une création est impacté par ce qui a été vu juste avant. Peut-être que si je n’avais pas vu avant "Exit …” le magnifique documentaire (…) > Lire la suite ...
  • Eh bien non. Même s’il est l’auteur d’un best-seller new age, « Me and God », Arlen Farber n’a pas la réponse au malaise existentiel dont il est frappé depuis le succès inattendu de son livre. Il vit coupé des autres, volontairement (…) > Lire la suite ...
  • Quand le cœur fait boom, les sens, tous en éveil, font kaboom. C’est ainsi que le réalisateur réussit à enjôler les spectateurs. Du moins ceux qui intuitionnent que pour accéder à l’univers parallèle, étrange et bigarré du cinéaste rien ne vaut (…) > Lire la suite ...
  • « De vrais mensonges » et un charme léger qui se dégage de ce film à l’écriture à la fois simple et sophistiquée, à la cohérence interne et qui en même temps s’emboîte, avec la justesse d’une pièce de lego, dans la thématique d’un réalisateur. (…) > Lire la suite ...
  • Pina Bausch (1940-2009), chorégraphe bouleversante par la simplicité souvent provocatrice de son langage gestuelle, décide, quelques mois avant sa mort, de reprendre une de ses plus célèbres créations, Kontakhof, avec pour interprètes de très (…) > Lire la suite ...
  • Suffit-il de savoir que les colères sont rarement utiles pour les réfréner ? Pas sûr. Surtout lorsqu’on estime qu’elles ont un sens Ainsi il n’est ni incongru ni superflu de pousser un cri d’indignation et de protestation contre le fait que (…) > Lire la suite ...
  • On peut ne pas aimer l’hystérie de ce film, la deuxième réalisation de Fabienne Berthaud qui adapte son roman édité depuis peu en livre de poche. On peut être dérangé par sa désarmante afféterie formelle et sa sursaturation qui donnent aux (…) > Lire la suite ...
  • « A bout pourtant » et en plein dans le cœur. D’une action haletante qui nous tient en apnée durant une heure trente. Dans la meilleure veine des films de William Friedkin (« French Connection »), Michael Mann (« Heat ») ou James Gray (« The (…) > Lire la suite ...
  • Noir Ocean est l’échographie de multiples angoisses. Passées, présentes et en devenir. Angoisses qui assaillent des jeunes gens, presque encore des enfants, lorsqu’en bout d’une mission dans l’Océan Pacifique ils prennent conscience que (…) > Lire la suite ...
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    Echanger sa carte d’agent de la CIA contre le laisser-passer vermeil donnant droit à la gratuité dans les transports en commun n’est pas nécessairement un plus. D’où la réaction d’une ex team dream de barbouzes contre l’inéluctabilité du (…) > Lire la suite ...