janvier 2006

  • Dès les premières images du film, John Wilmot, comte de Rochester est présenté comme un débauché notoire, un buveur invétéré, un poète sulfureux. Il est aussi un proche du Roi Charles II d’Angleterre avec lequel il entretient une relation (…) > Lire la suite ...
  • Lors des jeux Olympiques de septembre 1972, la prise en otages de 11 athlètes israéliens, par un commando palestinien, se termine par un massacre ne laissant aucun survivant. Plutôt que de s’intéresser à l’amont de ce drame, Spielberg va se (…) > Lire la suite ...
  • Pour un premier essai, bravo. C’est un film réussi qui oscille, avec finesse et douceur, entre histoire intimiste et regard sociologique posé sur un milieu arc-bouté à ses règles et ses tabous : celui du quartier de Sarcelles, dans la banlieue (…) > Lire la suite ...
  • Il y a des films qui questionnent et des films qui mettent en scène des personnages qui se questionnent. Guernsey appartient à cette deuxième catégorie. Anna (une superbe Maria Kraakman) est une spécialiste en irrigation. Lors d’un de ses (…) > Lire la suite ...
  • Voilà un film qui nous parle d’une qualité devenue rare de nos jours : le courage. Non pas celui des héros des champs de bataille ou de ceux qui sont confrontés à une difficulté passagère. Mais du courage au quotidien dont doivent faire preuve (…) > Lire la suite ...
  • Est-il imaginable que « Viva Zapatero », grâce au bouche à oreille, connaisse de ce côté des Alpes le même retentissement qu’en Italie (plus de 300.000 entrées à ce jour) ? En tout cas il le mériterait parce que la question posée par ce film (…) > Lire la suite ...
  • Le hold up ou le vol à main armée à toujours été un genre prisé par le cinéma américain. Jusqu’à présent les armes utilisées dans ce type d’opérations étaient soit à feu, soit blanches. Dans « Enron » point de 22 long rifle ou de couteau mais (…) > Lire la suite ...
  • Tant qu’une vie n’est pas finie, elle ne peut qu’être inachevée. Et parce qu’elle est inachevée, elle peut être retouchée, améliorée, cicatrisée. Einar (un Robert Redford exagérément flétri, mal rasé et bougon) vit avec son ami Mitch (un Morgan (…) > Lire la suite ...
  • Dans le film de Godard « Masculin-féminin » celui-ci décrivait ses héros comme les enfants de Coca-Cola et de Marx. Dans son film, Miranda July les voit plutôt comme les héritiers d’Internet et du divorce. Douceur, flottement poétique et (…) > Lire la suite ...
  • Voilà un film réjouissant, porté avec une jubilatoire tonicité par 3 acteurs formidables. Mrs. Henderson est une anglaise veuve, riche et plus très jeune. Pour ne pas s’encroûter dans la vie qui l’attend (oisiveté et papotages mondains) elle (…) > Lire la suite ...
  • Jarhead est un film de guerre. Donc un film de genre. En tant que tel il sacrifie à un code dont il respecte les dispositions impératives : apprentissage biizutage compris) du métier, départ belliqueux pour le front et retour désabusé à la case (…) > Lire la suite ...
  • En 2002, le Rideau de Bruxelles créait la pièce de David Auburn (prix Pultizer) dont est tiré le présent film. La mise en scène de Jonathan Fox rendait un son juste à l’histoire de la prise de conscience par une jeune femme de sa fragilité (…) > Lire la suite ...
  • L’histoire avec un grand H est paradoxale, aussi paradoxale que le titre de ce film. En effet le narrateur du récit, Georges Figon (un très convaincant Charles Berling) n’a pas vu tuer Ben Barka – il n’a assisté qu’à son enlèvement. Et il est (…) > Lire la suite ...
  • En automne 2004, je découvrais, à Flagey, ce cinéaste étonnant tant par son discours que par sa technique cinématographique originale à travers 4 de ses films dans lesquels il pleuvait beaucoup. Avec « La saveur » changement d’atmosphère : la (…) > Lire la suite ...
  • George Clooney, une fois de plus après son « Confessions of a dangerous mind », prouve que séduction et réflexion peuvent marcher de pair. Il semble aussi qu’il ait une thématique de prédilection : celle de s’intéresser à l’impact de la (…) > Lire la suite ...
  • Hitchcock, dans « The trouble with Harry » posait la question de savoir qui avait tué Harry. Dans sa réponse il développait l’idée d’un morcellement de la réalité. Dans « Where the truth lies » Egoyam pose lui aussi une question : qu’est-il (…) > Lire la suite ...
  • Ce film peut, avant de prendre sa passionnante et singulière vitesse de croisière, dérouter voire même ennuyer . Où veut-en venir le cinéaste ? A soutenir un credo selon lequel la culture de la mort et de la vengeance terroriste n’est pas que (…) > Lire la suite ...
  • La rumeur cinématographique veut que le rôle du commandant de police Vaudieu ait été écrit pour un homme (Jacques Dutronc). Quelle chance que ce dernier ait été saisi de procrastination, permettant ainsi à Nathalie Baye d’interpréter un de ses (…) > Lire la suite ...