décembre 2006

  • Le bon ne conduit pas toujours au meilleur. Patrice Leconte, le spécialiste des têtes-à-têtes masculins et inattendus (« Tandem », « L’homme du train ») nous a habitués à mieux que cette comédie qui confond populaire et poussif. François est un (…) > Lire la suite ...
  • S’appeler Eden est-ce un gage de détenir les clés du Paradis ? Pas sûr. Elle, Eden, est une jeune femme mal accompagnée par un mari peu soucieux de la comprendre. Elle a une petite fille atteinte du syndrome de Down. Lui, ne vit que pour son (…) > Lire la suite ...
  • Le film "The departed" de Martin Scorsese est une adaptation d’un succès hongkongais "InFernal Affairs" de Andrew Lau. Je n’ai pas vu ce film asiatique, je ne vais donc pas entrer dans la polémique : ni comparaisons, ni supputations. Ne boudons (…) > Lire la suite ...
  • « Le héros de la famille » est un film trompeur (*) comme une poupée gigogne : simple et univoque à l’extérieur mais complexe et multiple à l’intérieur. Claude Brasseur est le propriétaire d’un vieux cabaret niçois « Le perroquet bleu ». Sa mort (…) > Lire la suite ...
  • Chaque année, à la même période, les enfants se réjouissent de l’arrivée du Père Noël, les gourmands des truffes et massepains qui signent la fin de l’année pendant que les amateurs de ce que Truffaut appelait « cet autre tendance du cinéma » (*) (…) > Lire la suite ...
  • A chacun son coursier. Sancho Pancha a sa mule, Harry Potter son balai, Barbarella l’ange Pygar. Eragon a sa dragonne, Saphira (Rachel Weiz lui prête sa belle voix) avec laquelle il délivrera le royaume d’Alagaësia des ténèbres et violences (…) > Lire la suite ...
  • Alaa El-Aswany est un homme intéressant. Dentiste de profession, il est aussi écrivain. C’est à lui que l’on doit ces Caire Stories (*) dont le jeune cinéaste Marwan Hamed s’est emparées avec bonheur. Chronique douce amère de cette vieille (…) > Lire la suite ...
  • Coup de coeurYES

    5étoile(s) 5étoile(s) 5étoile(s) 5étoile(s) 5étoile(s)
    Que c’est rare et précieux un film complet qui s’adresse autant à l’esprit qu’aux sens de celui qui le regarde. Sally Potter à laquelle nous devons le sublissime « Orlando » inspiré de Virginia Woolf apporte à la relation amoureuse ce qui (…) > Lire la suite ...
  • Comment faire oublier un dernier rôle insipide, celui de Sophie Neveu dans « Da Vinci Code si ce n’est en en prenant le contrepied et en renouant avec le charme et l’espièglerie ? C’est ce qu’a intelligemment compris Audrey Tautou en choisissant (…) > Lire la suite ...
  • Qui mieux qu’Ali Kaurismäki peut nous plonger dans l’angoisse de la solitude ? Qui mieux qu’Ali Kaurismäki peut nous enfoncer dans un désespoir existentiel ? Qui mieux qu’Ali Kaurismäki peut nous faire ressentir l’hostilité d’un monde environnant (…) > Lire la suite ...
  • « Requiem » est un étonnant instantané d’une famille enfermée sur elle-même et ses croyances religieuses. L’Allemagne des années mil neuf cent septante, non pas celle urbaine et anarchiste de la Bande à Baader mais celle rurale des petits (…) > Lire la suite ...
  • Toutes les promesses de Amores Perros sont tenues dans ce mélodrame suffoquant. Sean Penn, Benicio del Toro et Naomi Watts, tous admirables, nous entraînent dans leur monde de souffrance et de culpabilité, sans que jamais l’intensité de cet (…) > Lire la suite ...
  • Merci Monsieur Altman, avant de tirer votre révérence, de nous avoir permis de passer en compagnie d’acteurs épatants un samedi soir à Saint Paul Minnesota. Parce que vous aviez quatre-vingt ans, à la demande des compagnies d’assurances, la (…) > Lire la suite ...
  • A quoi tient l’attachement éprouvé pour un film ? En l’occurence, certainement, à l’équilibre bien cadencé de différents talents : la gravité intelligente d’une romancière Domitilla Calamai (*), la sensibilité d’une réalisatrice (**) l’efficacité (…) > Lire la suite ...
  • Quel est le poids d’un secret ? Pèse-t-il plus lourd que l’amour entre une mère et sa fille ? Ce film grave et beau ose fictionner sur un sujet, dont l’universalité n’émoussera jamais l’horreur : les tortures infligées aux femmes en temps de (…) > Lire la suite ...
  • Si on se prête au jeu des homophonies, à la façon d’un Edmond Blatchen demandant à ses invités comment ils écrivent les mots « nom de Dieu », les graphies de « Mauvaise foi » révèlent une architecture triple soutenue par des acteurs dont l’envie (…) > Lire la suite ...
  • Bonitzer aime les intellectuels et les hystériques. Impossible de voir « Je pense à vous » sans multiplier les suppositions people et sans se demander si ses gesticulations langagières définissent un vaudeville à Saint Germain des Prés ou une (…) > Lire la suite ...
  • Les enfants sont gâtés en décembre. Saint Nicolas, le père Noël et entre les deux, ces nouveaux Dieux que sont les studios de cinéma pensent à eux. Au programme de cette année une visite des égouts londoniens en compagnie de Rody, Rita et d’une (…) > Lire la suite ...