octobre 2019

  • Voilà une comédie policière coréenne très spéciale. La toile de fond est le bureau d’un commissariat à Séoul composé en majorité d’hommes censés être dans l’action et de quelques femmes désœuvrées reléguées au bureau des plaintes : une ancienne (…) > Lire la suite ...
  • Si Moi, Daniel Blake traitait du monde des prestations et aides sociales, Sorry we missed you, le nouveau film de Ken Loach, aborde le monde du travail des emplois précaires et des gens que Theresa May appellerait « ceux qui s’en sortent tout (…) > Lire la suite ...
  • Le film est construit comme un livre avec 7 chapitres, Est-ce pour rappeler qu’il est l’adaptation française, très libre d’ailleurs, du livre de John Fante, écrivain américain, paru en 1986 ? C’est une comédie douce-amère, un conte sur la crise (…) > Lire la suite ...
  • Après le très beau et touchant film « Plaire, aimer et courir vite » qui mettait en scène des hommes qui s’aiment avec, en fond de toile mortelle, le sida dans le Paris des années 1990, nous étions curieux de découvrir le nouvel univers de (…) > Lire la suite ...
  • Huit minutes de standing ovation à la Mostra de Venise [1] pour acclamer ce chef-d’œuvre qu’est Joker, auréolé du lion d’or. Difficile d’écrire une chronique à la hauteur de cet éloge… Gotham City, années 80. Les rues, infestées de poubelles (…) > Lire la suite ...
  • Une page blanche, quelques coups de crayon. Une voix féminine retentit : « Prenez le temps de me regarder ». Cette invitation inaugurale, c’est celle de Marianne (Noémie Merlant), la peintre, à ses élèves, mais c’est aussi celle de Céline (…) > Lire la suite ...
  • Les films de fiction politique sont peu nombreux dans le paysage de la production française à part quelques exceptions : « L’Exercice de l’Etat » de Pierre Schoeller, « Quai d’Orsay » de Bertrand Tavernier et » L’Enquête » de Vincent Garenq. (…) > Lire la suite ...