janvier 2011

  • Ay Marieke, Marieke Le ciel flamand Pesait-il trop De Bruges à Gand Ay Marieke, Marieke Sur tes vingt ans Que j’aimais tant De Bruges à Gand Zonder liefde, warme liefde Lacht de duivel, de zwarte duivel Zonder liefde, warme liefde Brandt mijn (…) > Lire la suite ...
  • Pourquoi une telle exaspération (de ma part) devant un film plutôt bien fait et par moments empreint d’une densité physique impressionnante ? Est-ce parce j’attendais de la part d’un cinéaste qui a donné au 7ème art un de ses chefs d’œuvre les (…) > Lire la suite ...
  • Une hirondelle ne fait pas la printemps dit-on. Un film suffit-il pour faire un cinéaste ? C’est pour pouvoir répondre à cette question qu’il est toujours intéressant de partir à la découverte de ceux qui débutent ce qui pourrait devenir une (…) > Lire la suite ...
  • RAD = RAS « Rien à déclarer » … et rien à signaler à propos de ce film quelconque, insipide, même pas drôle et parfois étonnament vulgaire. Pourquoi s’acharner sur un cinéaste attendu au tournant après le succès public et financier d’un « (…) > Lire la suite ...
  • Même si … Même si dernier film de Clint Eastwood n’est pas un grand film, il mérite mieux que le désintérêt. Parce que la carrière de ce dandy solitaire et singulier, l’un des derniers d’un 7ème art en voie de globalisation moutonnière, (…) > Lire la suite ...
  • Quand Rabelais croise Lewis Caroll, Freud et la reine du Whodunit (Agatha Christie) pour gâcher le voyage de Michel Trémois parti avec son épouse (et sa belle- mère ??) revivifier leur vie sexuelle dans un Relais et Château qui ne tiendra pas sa (…) > Lire la suite ...
  • Si ce qui est rare est précieux, alors « Le quattro volte » est un film précieux. Inclassable par son parti pris de se situer hors de toute narration. Poétique par son intention de saisir en toute chose la beauté. Exigeant (*) par son refus (…) > Lire la suite ...
  • Ce film, le deuxième d’une réalisatrice américaine de 44 ans, est une brûlure. La brûlure d’amour d’une jeune adolescente pour ses cadets (frère et sœur). Pour une mère malade et incapable de se (de les) défendre. Une brûlure qui laisse (…) > Lire la suite ...
  • Adapté de la pièce de théâtre de Wajdi Mouawad (elle-même inspirée de faits réels) ’Incendies’ fait partie de ces films qui marquent le spectateur à vie. Véritable ’claque dans la gueule’, ’Incendies ’ vous prend aux tripes de la première scène à (…) > Lire la suite ...
  • Il est évident qu’à force de détourner les ingrédients du cinéma populaire de qualité (un bonne histoire, de bons acteurs, de la spontanéité et de la sincérité) ... ... au profit d’une écriture hypercholestérolisée, d’une maladresse sans (…) > Lire la suite ...
  • Marc Esposito & les hommes. Y a-t-il dans sa constance à traiter de ces drôles de bipèdes la trace d’une stratégie - nouer avec le spectateur un lien de fidélité ? - ou juste l’envie de se laisser porter par une espèce de mouvement intuitif (…) > Lire la suite ...
  • Déjà en 2006, la jeune réalisatrice bosniaque Jasmila Zbanic nous avait touchés avec son premier long-métrage ’Grbavica’ , qui a eu le prix Cinéfemme cette année-là, mais aussi... l’Ours d’or à Berlin. Avec son nouveau film ’ Na putu’ ( ‘On the (…) > Lire la suite ...
  • Comment quand on aime que les choses soient murmurées plutôt qu’assénées être sensible à « Incendies » ? Etait-il nécessaire de surcharger fictionnellement un destin en soi déjà riche en péripéties dramatiques, celui de Souha Béchara (*) qui a (…) > Lire la suite ...
  • The Corpse Bride (*). Ou l’union des souvenirs personnels et des traditions collectives (**) pour accompagner une jeune morte dans son dernier voyage. Quelque part sur les bords d’un fleuve dans le Nord de la Russie, un mari, accompagné (…) > Lire la suite ...
  • "Somewhere … over the rainbow". Sofia Coppola a un don. Inestimable. Elle sait, comme Prométhée quand il dérobait aux dieux le secret du feu, extraire du temps qui s’écoule la puissante magie. Cette magie qui transforme l’insignifiant, le (…) > Lire la suite ...
  • « The Kids Are All Right » sonnait comme la promesse d’un de ces films américains indépendants qu’il est rare de voir sur les écrans. Le casting était par avance savoureux et l’idée de retrouver Julianne Moore et Annette Bening, deux actrices (…) > Lire la suite ...
  • "La chance de ma vie" ... si vous voulez que ce soit celle, plus modeste, de votre journée ou de votre semaine abstenez de faire de ce film la priorité de vos sorties. Au fait vous avez bien lu, le cinéaste s’appelle Nicolas Cuche et non pas (…) > Lire la suite ...