novembre 2008

  • Angleterre, 1971. Père de deux petites filles et mari fou amoureux, Terry enchaîne les petites magouilles pour subvenir aux besoins de sa famille. Lorsqu’une vieille connaissance, Martine Love (Saffron Burrows), lui propose le casse du siècle ; (…) > Lire la suite ...
  • Si vous avez apprécié le scénariste d’Eternal Sunshine of the Spotless Mind , Adaptation ou Being John Malkovich mais que : * vous ne supportez pas qu’un protagoniste s’enlise dans son mal être sans jamais montrer un soupçon de force (…) > Lire la suite ...
  • Deux corps se rencontrent. Illuminés par une chaude lumière d’été, ils s’enlacent avec douceur et intensité. C’est une image belle et envoûtante qui s’étale à l’ouverture de « Wolke 9 », l’image de deux personnes s’aimant simplement. Sauf que (…) > Lire la suite ...
  • Les visages de la femme au crâne rasé – Ten +4 ou le cinéma magnifique de Mania Akbar i “Je n’ai jamais planifié de faire ce film. Je devais travailler sur un autre projet… Mais on m’a diagnostiqué un cancer. Abba Kiarostami m’a suggéré de (…) > Lire la suite ...
  • De la survivance des images et des voix « Dire que le présent porte la marque de multiples passés, c’est dire avant tout l’indestructibilité d’une empreinte du - ou des - temps sur le formes mêmes de notre vie actuelle. Taylor parlera ainsi de (…) > Lire la suite ...
  • « Le célibat n’est pas un style de vie alternatif. » « Baby Mama », premier film du réalisateur Michael McClutters, est un film étonnamment féminin. Il nous conte l’histoire de Kate Holbrook (Tina Fey), femme d’affaires indépendante et (…) > Lire la suite ...
  • Qu’est ce qu’un RocknRolla ? Dès les premières minutes du film, sur un rythme « Guy-Richien » reconnaissable entre tous (et hyper jouissif pour les adeptes) nous avons la réponse : c’est quelqu’un qui veut TOUT (sexe, argent, drogues, glamour,…). (…) > Lire la suite ...
  • “Filmer à tout prix" ou le festival-miroir au titre merveilleux - www.fatp.be "La caméra doit jouer un rôle de miroir, et non pas de "window" comme disent les anglais. Fenêtre ou miroir, c’est l’alternative. Moi, je dis qu’elle doit être un (…) > Lire la suite ...
  • Approcher petit à petit ce que c’est que d’être une femme. Ecouter des femmes parler de leur sexualité, de leurs inquiétudes, de leurs incertitudes, de leurs corps. Ecouter mais pas juger, tenter de comprendre, tenter d’aider. Acquérir le regard (…) > Lire la suite ...
  • Une carrière qui n’a rien à envier aux plus grands de l’histoire du cinéma ; un nom, une personnalité, un sens artistique ; Clint Eastwood est tout cela à la fois, mais tellement plus aussi. Avec sa nouvelle œuvre, il nous propose de découvrir (…) > Lire la suite ...
  • Tout d’abord un son, indistinct, qui peu à peu s’affirme. Un martèlement violent. Des couvercles frappés rageusement contre le sol, en signe de protestation. De refus. Un visage est capté, celui d’une jeune femme, déformé par la rage. C’est par (…) > Lire la suite ...
  • Une maison isolée, baignée de soleil ; une douceur de vivre qu’accompagne la venue de la saison chaude. C’est dans ce cadre idyllique qu’une famille a élu domicile et profite en toute quiétude de l’existence. Une seule ombre à ce tableau, cette (…) > Lire la suite ...
  • Trevor Anderson est un scientifique spécialiste de la tectonique des plaques dont les études piétinent depuis la disparition de son frère, Max. Celui-ci avait disparu lors d’un voyage en Islande. Lorsque son neveu, Sean, treize ans, débarque (…) > Lire la suite ...
  • Une usine en arrière fond, des cheminées effilées qui peuplent un ciel encombré de nuages gris, une eau trouble qui encercle le lieu. C’est le décor d’ouverture de « La très très grande entreprise », situation initiale plantée rapidement, au (…) > Lire la suite ...
  • Qu’attend-t-on d’un film tel que James Bond ? Qu’il nous surprenne ou qu’il nous conforte ? Qu’il nous distraie ou qu’il nous concerne ? Qu’il nous émeuve ou qu’il nous coupe le souffle ? Quelle est la qualité principale d’une production 007, son (…) > Lire la suite ...