Alice Taglioni, Valeria Golino, Jean Dujardin, Jean Reno
On comprend mieux après avoir vu « Cash » le cri d’alarme (*) des 13 professionnels réunis sous la présidence de Pascale Ferran (**) « Au secours, le cinéma français se noie ! ».
Et d’ajouter avec dépit, désappointement et rage devant un tel gâchis de pellicule « Trop tard, il n’y a plus de bouée de sauvetage. »
Qui pourrait être assez masochiste pour trouver un quelconque intérêt à cette histoire de vengeance et d’arnaque dans laquelle l’arnaqueur manque de charme (Paul Newman, Robert Redford (***), Steve Mc Queen (****) come back please, we need you ), le rythme de tempo et l’intrigue de fils unificateurs ?
Et si toute cette affaire n’était qu’une arnaque au cinéma ?
Et si en fait il ne s’agissait pas d’un film mais d’un coup de pub pour les hôtels les plus sélects de la Côte d’Azur ?
Celle luxueusement sertie entre Nice et Monaco. (m.c.a)
(*) Paru dans un rapport édité chez Stock « Le milieu n’est plus un pont mais une faille »
(**) « La sentinelle », Petits arrangements avec les morts », « Lady Chatterley »
(***) « The sting » de George Roy Hill
(***) « The Thomas Crown affair » de Norman Jewison